PATRICK VILALLONGUE : Artiste Peintre, Photographe, Designer

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« L’enfant au crabe »

« Sous le rocher
Etait caché
Un crabe coquin

L’enfant imaginait des jeux
Avec le crustacé qui l’amusait
Veux-tu devenir mon copain ?
Mais le crabe avait disparu
Planqué entre deux bigorneaux
Et un mignon chapeau chinois

Patient
L’enfant glissait ses petits doigts
Dans la cache
La marée lui léchait les pieds Et la lumière toute en douceur
L’enrobait de ses beaux reflets

Dans le contre-jour mordoré
Le temps s’arrête
Suspendu
Avec une infinie tendresse »

Avec les mots de :
Ghislaine Rouxel....(lien vers le blog)




« Sisid
ni Aleena.»

Sa tuwing pagsikat ng araw,
aking dala ang pag-asa at pananaw.
Papuntang dalampasigan,
Makasisid ng magandang kinabukasan.

Sa ibayong ilalim ng karagatan,
Sana mahanap ko ang kaibuturan.
Masisid ang magandang pangarap,
Saan ko man mahagilap.

Ngunit sa dalampisigan,
may ganid ng takot sa akin.
Maaring dala ng kabataan,
at kapos sa pamamaraan.

Ngunit, aking napaghimay-himay,
Sayang ang isang paglalakbay.
Suot ang gapas,
Sa tubig pumalaspas.»

Avec les mots de :
Andrea Roxanne Jocsing Anas....(lien vers le blog)




« ...Ah Giovinezza, Giovinezza
...mia gioia e mia tristezza
...ricordi di tempi passati,
di giochi speranze e pensieri incantati.
L’ingenua freschezza
...la mia Giovinezza. »

Avec les mots de :
Jennifer Rossi....(lien vers Twitter)




« Mon cher bébé qui n’est pas là
Cet enfant que je n’aurai pas
Sauras-tu donc me pardonner
De ne pouvoir t’enfanter ?

Tu sais, je te porte en mon cœur
Toi ma tendresse, toi ma douleur
Arthur, je t’aurais tant aimé
J’aurais su tout de donner.

Ce maudit ventre reste enfantin
Et juvéniles restent mes seins
Pourtant dans mes rêves j’entends
Ta p’tite voix m’appeler Maman…

J’ai beau si bien t’imaginer
Je crève de n’pouvoir te toucher
Te voir dormir dans ton berceau
Te dire « Dors bien » à mi-mot

Arthur, ma vie est un désert
Si je ne puis être ta mère
Déjà tu me manques si fort
Si seule, mes jours sont ma mort

Je dois hélas vivre sans toi
Mais t’oublier, je n’saurais pas
Et mon désespoir hurle au vent
Sache que je t’aime, mon enfant »

Avec les mots de :
Virginie Vanos….(lien vers : publication n°1)

Enfant au bord de l'eau

Ref. : 222
Catalogue : "Personnages"

Photo argentique.
Format : jusqu'à 0,75 m en qualité photo,
tirage : 150 ex. numérotés, certifiés

Photo argentique.
Format : jusqu'à 0,75 m en qualité photo,
tirage : 150 ex. numérotés, certifiés


Date et lieu :
00/07/1981, Cospron