« Le ciel est blanc, le ciel est gris.
Les fils se croisent, se tissent, l’enferment et plombent l’horizon.
Tandis qu’un ersatz de Tour Eiffel érige sa carcasse sur ce fond de ciel prisonnier. »
« La Fée électricité est une Sirène….
Qui ne se pêche qu’à la ligne électrique,
Apprêtée en tenue impec-Câble fluidique,
Elle attire la Tension du Marin survolté,
A l’idée de « pêcher » avec telle beauté.
L’emphase du déphasé par tel chant électrique,
Perdu, corps à l’eau et vague à l’Âme onirique,
Par coup de foudre emporté, ampère-mètre les excès,
Ces moult allers-retours abrasifs qui Altèrent-l’natif,
A la terre relié, malheureux en son sol, parce que trop isolé,
…..C’est plaintif,
En plein-Taf que le coureur, électroniqué,
va certainement à la fin, sur circuit se planter.
La morale de cette histoire au fort style ampoulé,
Pourrait-être de ne jamais remettre à l’eau le coup de foudre,
Qui pourrait t’électrocuter le jour-même… »
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