« J’avance à tâtons dans une espèce de brouillard.
C’est sympa ! J’ai oublié mes lunettes
et ne peux voir que quelques feuilles de chênes proches,
découpées, ravissantes et fragiles.
Là-bas, plus loin, tout est cotonneux, irréel.
Le soleil envoie ses rayons à travers le feuillage
que mon regard de myope fait éclater bizarrement.
Dans cet univers, je me sens presque une âme de poète! »