« Elle semblait absente, mais elle n’était que rêveuse.
Si jeune et déjà absorbée par quelque songe connu d’elle seule!
Je n’osais l’appeler, lui parler. Ce moment n’appartenait qu’à elle.
Et ce ciel si clair, comme en fond de tableau, me faisait penser,
quand je la regardais, à une délicate peinture.
Je la trouvais belle cette enfant, sage et attentive, délicate.
Elle avait quelque chose d’irréelle, d’angélique,
dans la pure acceptation du terme.
Aussi, je préférais entrer dans la maison et la laisser rêver,
seule, à regarder .....regarder, quoi, au fait?
Les images que sont esprit plein d’imagination se faisait bousculer
dans un songe éveillé, infini, merveilleux »