« Canal »
« Calme canal qui absorbe les tourments
Serpentant au milieu de la vieille cité
Miroir d’un ciel agité, indifférent au vent
Sage, ni les branches qui vient s’y admirer
Ni l’agitation d’humains un peu survoltés
Rien ne vient le perturber ni l’inquiéter
L’ondée est belle et file si lentement
Qu’on aurait dit une psyché d’antan
Beau tableau d’un peintre oublié
Le canal offre à un automne fané
Ses palettes de couleur ravivées. »