« Sur un pan d’azur qu’on ne sait appartenir
Au ciel ou à la mer, se dessine l’imaginaire.
Une route les relie au delà de leur devenir
Un chemin de pastel où la vue s’égare et erre.
Mais le céleste peintre a dévié son pinceau
Vers le doré d’une langue de sable échouée
Puis, agrémenta des plaines d’un vert d’eau
Où serpente encore un estuaire déjà égaré.
La lumière s’invite à cette douce aquarelle
Adoucissant les contours et invitant au rêve
D’un sentiment de plénitude où sommeille
Encore les vapeurs d’un jour qui se lève. »